Archive for August, 2009

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08.12.09


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aire jouir d’un simple attouchement de la main.
Deja, il pouvait obtenir d’elle tout ce qu’il vou-lait. C’etait sur son ordre quelle s’etait mise a frequenter le commissaire de Saintes-Maries-les-Lys.
Papin s’agitait frenetiquement, dans un rythme dyncope. II ignorait que sa folle maitresse forni-quait avec lui en pensant a un autre. D’ailleurs, comment l’eut-il compris? Marie-Ange se tordait sous son etreinte, parcourue d’une terrible fievre erotique et quant a Edwy Memo, Papin n’en avait jamais entendu parler.
Lorsque la jeune femme s’ecroula en poussant un long rale hysterique, il se laissa aller dans un ultime assaut, poussa un grognement eperdu et repandit en elle le torrent impetueux qu’il avait reussi a contenir jusqu’alors.
Essouffle, etonne de sa propre performance, il s’abattit lourdement a cote d’elle, en travers du lit en bataille. Quand il revint enfin a lui, Marie-Ange etait debout, fumant tranquillement une de ses Rothmans. II la considera tendrement.
– Tu as aime? demanda-t-il, le regard encore voile par le plaisir.
– C’etait formidable. Tu baises comme un dieu. « Je lui dois bien $a », se dit-elle.
Papin se releva peniblement. Sa tete etait vide. II avait le sentiment qu’on lui avait fait une ponction lombaire. Nu comme un ver, il remit ses chaus-settes.
– J’attrape facilement froid, s’excusa-t-il.
Elle lui adressa un sourire comprehensif et l’homme se dirigea pesamment vers la salle de bains. Marie-Ange entendit le borborygme d’un robinet, puis l’eau qui coulait dans le lavabo. « Monsieur lave son instrument de travail », pensa- -elle, railleuse, « c’est signe qu’il ne remettra pas
Papin reapparut dans l’encadrement de la porte, une serviette eponge plaquee sur le sexe cam.
– Tu ne te laves pas? demanda-t-il betement. Marie-Ange ecrasa sa cigarette.
– Non, j’aime bien garder sur moi l’odeur de l’amour, repliqua-t-elle sur un ton de defi.
– Ah bon! fit-il d’une voix ou percait l’incompre-hension la plus totale. Puis, sans transition, il ques-tionna : As-tu soif?
– Je boirais volontiers un gin-fizz. II la regarda, stupefait.
– C’est que j’avais mis au frais une bouteille de « Veuve Cliquot ».
« Ben voyons! Le contraire m’eut etonnee. »
– Va pour le champ’! Tout ga est tres classique, dit-elle en souriant suavement.
II enfila sa chemise, laissant Hotter les pans sur ses grosses cuisses blanches et velues et partit en direction de la cuisine. II en revint aussitot avec la bouteille et deux coupes. II fit sauter le bouchon et remplit les verres. La vue du liquide blond et petillant le mit en joie. II tendit a la jeune femme une coupe en s’exclamant :
– A notre bonheur, Marie-Ange!
lis burent en silence. Papin se laissa choir sur un fauteuil en simili-cuir. Un abat-jour fleuri eclairait de biais son fades prognathe.
– Tu sais, ma cherie, que je suis vraiment amou-reux de toi?
« Voila autre chose! » songea-t-elle, en se confi-nant dans un silence prudent. II ne parut pas s’en rendre compte.
– J’ai meme songe a demander ta main.